SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE LA SÉCURITÉ AU TRAVAIL

Derniere mise a jour 24 Mar 2023 a 02:14


SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE LA SÉCURITÉ AU TRAVAIL


Fournir un effort physique et mental ou pratiquer une activité professionnelle axée sur la réalisation d’objectifs prédéfinis dans le processus de production pour avoir un résultat marqué par sa qualité et sa quantité à la fois.

Suivant un protocole soigné et précis avec ses conditions et ses critères, est-ce que tous les employés ont l’accès à ce fruit concret sans être menacés par un risque ? est-ce que tous les employés n’ont pas ces défis à relever ? savent-ils l’essence du mot « sécurité » ? D’une autre manière, existe-t-elle cette notion dans l’environnement qui les englobe ?

La sécurité est synonyme du minimum de risque dans le cadre, l’état d’une situation où cette démarche pluridisciplinaire vise à contrôler et vérifier, à réduire ou supprimer, de façon séparée ou conjointe, les dangers et les circonstances pouvant provoquer des dommages d’ordre physique, psychologique ou matériel pour but de préserver la santé et le bien-être des individus.


Quelles préventions pour assurer la sécurité dans toute entreprise ?

Pour des raisons évidentes, les actions du Chef d’entreprise doivent s’appuyer sur un affichage obligatoire des consignes de sécurité imposé par le Code du travail (C. trav., art. L. 4121-2). Celui-ci qui est représenté sous forme de 9 principes généraux qui sont les suivants :

-Éviter les risques,

-Évaluer les risques ne pouvant être évités,

-Combattre les risques à la source,

-Adapter le travail à l’homme,

-Tenir compte de l’évolution de la technique,

-Remplacer ce qui est dangereux par ce qui l’est moins ou pas du tout,

-Planifier la prévention,

-Prendre des mesures de protection collective en priorité sur les mesures de protection individuelles,

-Donner des instructions appropriées aux travailleurs.

De surcroît, cette étape consiste à apporter une formation  adéquate concernant le processus d’utilisation de tout matériel, les risques liés à l’exécution du travail, les conditions de circulation dans l’entreprise .

Il consacre de plus à tout employé des guides ou bien des manuels de pour avoir accès à un certain nombre d’informations leur permettant d’adopter le bon comportement en cas d’accident, les dispositions à prendre en cas de sinistre, et de de connaître les numéros de téléphone des services d’urgences.

Cette formation intitulée « La formation et l’information des salariés » doit être renouvelée aussi souvent qu’il est nécessaire.


Comment ces risques peuvent être évalués en cas d’accident ?

La préparation précède toute étape exécutée sur le terrain et c’est précisément le cas pour adresser et lancer l’information aux salariés concernant les risques et les dangers, il faut tout d’abord une bonne signalisation dans l’entreprise.

Le nombre et l’emplacement des moyens ou des dispositifs de signalisation dépendent des risques et de la zone à couvrir.

Il est obligatoire de prendre en compte cette évaluation ou bien ce calcul des risques pour les salariés de toute entreprise réalisé par son directeur « employeur » y compris dans :

•   le choix approprié des équipements de travail (matériel, machines, substances ou préparations chimiques…) correspondent aux procédés de fabrication.

•    selon les circonstances et les conditions déclarées, l’aménagement ou le réaménagement des lieux de travail ou des installations,

•  l’identification des tâches spécifiques de chaque poste de travail.

L’employeur n’a qu’en répertorier les résultats dans un document appelé document unique d’évaluation des risques professionnels (DUERP)pour que les consignes et les instructions soient respectées.

À ne pas oublier que l’atteinte d’un niveau de sécurité optimal nécessite que les individus, communautés, gouvernements et autres intervenants, créent et maintiennent les conditions adaptées à tout environnement de travail.

Le reste se dépensait en un pourpoint de drap fin et des chausses de panne avec leurs pantoufles de même étoffe, pour les jours de fête, et un habit de la meilleure serge du pays, dont il se faisait honneur les jours de la semaine. Il avait chez lui une gouvernante qui passait les quarante ans, une nièce qui n’atteignait pas les vingt, et de plus un garçon de ville et de campagne, qui sellait le bidet aussi bien qu’il maniait la serpette. L’âge de notre hidalgo frisait la cinquantaine ; il était de complexion robuste, maigre de corps, sec de visage, fort matineux et grand ami de la chasse.